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  • Compte-rendu de la réunion téléphonique avec la DGITM

    GAZETTE N°3 | 2020 Une conférence téléphonique s'est tenue ce jour entre Monsieur Marc PAPINUTTI (Directeur Général des Infrastructures, des Transports et de la Mer) - DGITM et les partenaires sociaux du secteur Transports de Marchandises. Participants : OS : CFDT, FO, CGT, CFTC OP : FNTR, TLF, OTRE, FCD, ANIA État : MTESS, MAA M. PAPINUTTI précise que les cartes des aires de service pour les conducteurs sont en ligne sur le site bison futé (suivre le lien : https://www.bison-fute.gouv.fr/tout-savoir-sur-l-ouverture-des.html). Des consignes ont été données pour que les équipements sanitaires, douches (gratuites), coins de vente alimentaire à emporter soient ouverts et nettoyés. Une boîte mail et un numéro de téléphone dédiés pour signaler les problèmes vont être mis en place au plus vite. Ces informations sont saluées par l'ensemble des organisations présentes. La CFDT demande des protections pour l'ensemble des salariés qui sont inquiets. Il faut que la mise en œuvre des dérogations s'effectue sur la base du volontariat avec des compensations. Pour les salariés en chômage partiel, les heures d'équivalence doivent être prises en compte. Les organisations professionnelles (FNTR, TLF, OTRE) précisent qu'elles portent les mêmes demandes sur l'activité partielle. Elles précisent que des évolutions positives sur l'accueil des conducteurs ont été notées mais encore insuffisantes. Elles indiquent également que la levée de réquisition des masques va apporter une souplesse mais des délais d'approvisionnement sont à prévoir. La task force rassemblant les professionnels (transports, logistique, grande distribution, agroalimentaire) propose un pacte de l'ensemble des parties prenantes déclinant très concrètement les mesures de mise en œuvre de l'arrêté du 19 mars sur l'accueil des conducteurs et passera le message dans les cellules GMS et agroalimentaire qui se réunissent lundi. La grande distribution relaiera aussi le message sur l'accueil des conducteurs. Marc PAPINUTTI conclut par : La proposition de tenir régulièrement des conférences téléphoniques dans ce format (OP et OS). La confirmation que le chômage partiel s'applique aux transports et prendre en compte les heures d'équivalence. Un écrit du ministre le confirmera. La mise en place d'un pacte qui sera proposé aux parties prenantes par la cellule de crise des TR. Un rappel sévère des consignes données sur les accès aux services aux routiers. Une recommandation du volontariat pour les dérogations. Un rappel des enjeux partagés, dans la situation de crise, que le transport routier continue son activité, pas seulement pour l'alimentaire mais aussi pour l'ensemble des marchandises, comme l'ont rappelé les Ministres. la précision par la DGITM réunira une cellule de crise dédiée au Transport de Fonds se réunira dès lundi avec les entreprises du secteur. La confirmation que les travaux pour la mise en place des textes réglementaires sont en cours, concernant notamment les fins de validité FCO, les visites médicales de permis de conduire et les rattrapages de points. Un point sur les ambulanciers sera également fait la semaine prochaine. Patrick BLAISE, Secrétaire Général de l'Union Fédérale Route 06 82 09 02 97 Charles MORIT, Secrétaire Général Adjoint de l'Union Fédérale Route 06 11 66 65 48

  • Situation des ambulanciers face à la pandémie du Covid-19 en France

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 23 mars 2020 Après deux semaines de propagation, le coronavirus continue de se propager sur tout le territoire. Pour transporter les cas suspects de Covid-19, le SAMU mandate les ambulanciers du secteur privé. Ces salariés sont quotidiennement en première ligne ! Les ambulanciers sont chargés d'acheminer les patients vers des centres d'urgence, d'effectuer des transferts inter hospitaliers. Ils sont le lien entre ces patients et les hôpitaux. Ces opérations font partie de leurs champs de compétence puisque formés pour cela. Que les 55 000 ambulanciers que représentent la profession puissent effectuer pleinement leurs missions. Étant en première ligne, ils sont vecteurs de transmission du virus. Pas seulement pour leurs familles, pas seulement pour les patients qu'ils transportent mais pour l'ensemble de la population, ils doivent avant tout être protégés pour la continuité de leurs missions. Les moyens de protection individuel sont nécessaires pour leur permettre d'assurer leurs missions. Pour chaque transport à risque, ils ont besoin de masques FFP2, de charlottes, de combinaisons intégrales, de surchaussures, de lunettes, de façon à ne pas être exposés. Ces salariés ont besoin également de produits pour effectuer la désinfection des ambulances. Les oubliés des mesures gouvernementales sur l'attribution des masques, du gel hydroalcoolique et tout le matériel nécessaire sont bien les ambulanciers. Les ambulanciers ne sont pas prioritaires et pourtant, sont sur le front depuis plusieurs semaines. Certains employeurs, à la suite de ce manque de matériel, ferment leurs sociétés et d'autres continuent coûte que coûte ! Les salariés demandent qu'il leur soit appliqué les mêmes protocoles et sources d'approvisionnement de toutes les corporations en contact avec des patients potentiellement infectés pour permettre à ces ambulanciers de continuer à effectuer leurs missions en toute sécurité. L'Union Fédérale Route demande aux pouvoirs publics de prendre des mesures immédiates, le cas échéant, les ambulanciers pourront être amenés à se mettre en droit de retrait. Patrick BLAISE, Secrétaire Général de l'Union Fédérale Route 06 82 09 02 97 Charles MORIT, Secrétaire Général Adjoint de l'Union Fédérale Route 06 11 66 65 48

  • Liste des restaurants routiers ouverts

    INFO RAPIDE Suivre le lien ci-dessous afin de consulter la liste des restaurants routiers ouverts : https://www.bison-fute.gouv.fr/tout-savoir-sur-l-ouverture-des.html Ci-dessous également l'adresse mail mise en place par le Gouvernement afin de signaler tous les dysfonctionnements sur les aires d'autoroutes : servicestrm@developpement-durable.gouv.fr

  • Courrier du Ministère

    INFO RAPIDE Courrier du Ministère concernant la mise en place de l'activité partielle dans les entreprises de transports. L'État promet de simplifier le dispositif afin que les salariés du transport ne subissent pas de pertes de rémunération. Une ordonnance à ce sujet paraîtra dans les jours qui suivent.

  • Votre avis compte !

    INFO RAPIDE Mesdames et Messieurs qui êtes sur la route, merci de nous faire part des difficultés que vous rencontrez en répondant à l'adresse e-mail indiquée sur le document joint. Vous trouverez également les liens utiles mis à disposition par le Gouvernement. Votre contact UFR-FGTE-CFDT : k.eljaouhari@fgte.cfdt.fr Liens utiles mis en place par le Gouvernement : N° vert : 0 805 040 140 7/7j de 9h à 18h. E-mail : servicesTRM@developpement-durable.gouv.fr Lien Bison Futé : https://www.bison-fute.gouv.fr/ouverture-des-aires-et-des-centres,11195.html

  • Conférence téléphonique transport de fonds et valeurs

    GAZETTE N°4 | 2020 L'état d'urgence a été décrété la semaine passée à la suite du Covid-19. Les modalités de confinement suscitent l'incompréhension de certains salariés contraints de continuer à aller travailler. Le flou qui en résulte donne lieu à de nombreuses interrogations sur les modes opératoires et la sécurité individuelle ou collective des salariés. Par ailleurs, les règles de distanciation sont officiellement applicables sur certains secteurs notamment celui du Transport de Fonds. Le Ministère des Transports prend des mesures spécifiques pour protéger les salariés au travail pour qu'ils assurent leurs missions d'utilité publique et qu'ils ne deviennent pas à leur tour des vecteurs de contagion. Les entreprises de Transport de Fonds se retrouvent avec des charges directives lourdes entre : Assurer la continuité des services opérationnels. Assurer une communication d'urgence transverse (partenaires, clients, actionnaires...). Assurer une gestion spécifique des ressources humaines. Imaginer et préparer une reprise démultipliée des activités. Il apparaît aux professionnels que les activités liées au Transport de Fonds peuvent être momentanément calibrées à la baisse des volumes mais difficilement stoppées nettes. La contrainte de ne plus pouvoir repartir dans des délais d'urgence pourrait pénaliser la circulation du cash au niveau du territoire avec les conséquences que l'on peut imaginer pour les populations les plus fragiles et sans doute, tout particulièrement, pour le monde rural. Dans ce cadre anxiogène de dangerosité, la qualité d'un dialogue social de qualité est plus que nécessaire pour faire bloc autour de ces problématiques. Nous avons identifié 7 propositions liées à la situation engendrée par le Covid-19 pour alimenter les débats paritaires : Suppression des charges salariales pour les personnels du secteur travaillant en cette période de crise, afin de reconnaître leur engagement, sans faire peser la charge sur les entreprises, qui auront déjà à faire face à de très importantes difficultés économiques. Demande de report des formations identitaires et conventionnelles de la profession à la fin de cette situation sanitaire dégradée. Demande à ce que le CNAPS prolonge systématiquement de 6 mois tous les titres (ports d'armes, cartes professionnelles, validité des MAC,...). Demande de partage des organisations patronales des bonnes pratiques de sécurité liées au Covid-19 (exemple : fermeture de la porte frontale entre le conducteur, le messager et le garde) avec une directive pédagogique unique, validée par le Ministère du Travail vers les différents personnels. Propositions d'accorder des services spécifiques de transport sécurisé autre que le fiduciaire au Transport de Fonds, par l'allégement temporaire de certaines obligations réglementaires. Comment assurer la continuité de service sur l'alimentation en cash du territoire national, éviter la pénurie et comment préparer la reprise avec des services dédiés ? Le Transport de Fonds assure une fonction régalienne d'alimentation du cash auprès de l'ensemble de nos concitoyens, une fiscalité de crise peut-elle s'appliquer et des aides financières spécifiques sont-elles prévues ? Patrick BLAISE, Secrétaire Général de l'Union Fédérale Route 06 82 09 02 97 Charles MORIT, Secrétaire Général Adjoint de l'Union Fédérale Route 06 11 66 65 48

  • Quoi qu'il en coûte !

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 27 mars 2020 Tels sont les mots prononcés par le Président de la République lors de sa première intervention. L'Union Fédérale Route se préoccupe des conditions de rémunération des conducteurs du Transport Interurbain de Voyageurs quasiment à l'arrêt depuis la fermeture des écoles et la restriction des lignes régulières. Les salariés CPS (Conducteurs en Période Scolaire) sont en majorité des ouvriers à temps partiel qui, avec un salaire moyen de 800€ mensuel, sont extrêmement inquiets, à juste titre, sur leur rémunération au chômage partiel. Il est clair que ce dispositif ne fera qu'accentuer la précarité de ces salariés. C'est pourquoi, l'Union Fédérale Route demande expressément aux autorités organisatrices de rémunérer les entreprises sur les marchés concernés de façon à régler l'intégralité des salaires aux conducteurs. D'ores et déjà, des régions ont répondu favorablement à cette demande de la FNTV (Fédération Nationale des Transports de Voyageurs) comme le Centre-Val de Loire, la Normandie, l'Occitanie et les Pays de la Loire. Nous ne doutons pas que d'autres régions vont prendre le pas sur cet élan de solidarité. Toutefois, ce n'est malheureusement pas le cas de tous, comme la région Auvergne-RhôneAlpes qui semble très réticente à cette initiative. Nous ne doutons pas que la raison l'emportera. La situation de ce secteur, déjà très tendu faute du manque de personnel, comptabilise depuis plusieurs années l'augmentation de services non pourvus à chaque rentrée scolaire. Sans ce maintien de salaire, ce phénomène risquerait de s'accentuer dans un avenir proche. Espérons que les engagements du Président, entendus par tous les citoyens, seront tenus à tous les niveaux de la République et par tous les responsables politiques. Patrick BLAISE, Secrétaire Général de l'Union Fédérale Route 06 82 09 02 97 Charles MORIT, Secrétaire Général Adjoint de l'Union Fédérale Route 06 11 66 65 48

  • Toujours aussi peu d'avancées dans la protection des salariés et leurs conditions de travail

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 31 mars 2020 À la suite de la conférence qui a eu lieu le 30 mars sur le sujet des conditions de travail des salariés du transport, les organisations syndicales réitèrent leurs demandes, notamment : Réquisitionner les stations d'autoroutes avec ouverture impérative des sanitaires et points de restauration. Mettre à disposition des professionnels de la route des équipements de protection individuelle. Pour les salariés du secteur Sanitaire, fournir les mêmes équipements que les personnels soignants car ils sont mandatés par le SAMU afin de transporter les malades du Covid-19. Faire respecter les règles de distanciation dans les bases logistiques et dans les sas d'accueil des conducteurs, fournir également des moyens de protection individuelle. Favoriser le travail en équipe (2/8 ou 3/8) afin de favoriser la distanciation dans les bases logistiques car la promiscuité est un facteur aggravant dans ce secteur d'activité. Stopper immédiatement tous transports et activités logistiques non essentielles pour au moins quinze jours. Les OS en appellent à la responsabilité des entreprises mais aussi du Gouvernement afin de protéger ces salariés. Ils ont conscience de l'enjeu et du rôle qu'ils ont de transporter nos concitoyens malades et d'assurer la Logistique et le Transport des Marchandises essentielles, mais ils veulent faire leur travail dans des conditions dignes et sans danger pour leur santé. Les OS sont en lien quotidiennement avec le Ministère des Transports et souhaitent des avancées rapides sur ce sujet. D'ores et déjà, sans amélioration notable sur les aires de repos, le Ministère s'engage à procéder à des réquisitions de locaux et de personnels. Par ailleurs, il mettra en place des contrôles sur les lieux de chargement/déchargement et les sites logistiques où les consignes de distanciation ne seraient pas respectées. Un guide de bonnes pratiques devrait être établi dans les prochains jours, les OS espèrent que leurs revendications y seront inscrites. Nous entrons dans une semaine décisive ! Nous espérons avoir été entendu et écouté. Patrick BLAISE, Secrétaire Général de l'Union Fédérale Route 06 82 09 02 97 Patrice CLOS, Secrétaire Général de FO Transports 06 07 56 96 53 Thierry DOUINE, Président de CFTC Transports 06 03 09 00 50

  • Ile-de-France Mobilités n'est responsable de rien

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 7 avril 2020 Rien ne va plus dans le secteur des transports de personnes en Ile-de-France où les cas de salariés dépistés positifs se multiplient avec les premiers décès. Bien sûr, il en va de même dans le Transport de Marchandises, dans les centres logistiques et le Transport Sanitaire. Alors que l'on se rend compte seulement aujourd'hui de l'inéluctabilité des transports routiers, bien peu est fait pour la sécurité de leurs salariés quand ils ne sont pas pris pour des pestiférés. Conséquences, des salariés, la peur au ventre, commencent à se mettre en droit de retrait pour faire valoir leurs droits malgré la pression des employeurs. Que font les politiques, mis à part les grands discours ? N'a-t-on pas vu se pavaner dans tous les grands médias nationaux la Présidente de la région Ile-de-France se félicitant de la réception de millions de masques de protection ? À qui sont-ils destinés ? En tous cas, pas pour les salariés qui contribuent chaque jour à la continuité de la vie des millions de citoyens de sa région confinés (normalement...) à leur domicile. Par ailleurs, il a été demandé à Ile-de-France Mobilités de reporter l'ensemble des appels d'offres du réseau OPTILE. Que nenni, seulement un report de quelques jours pour le dépôt des dossiers. N'y a-t-il pas plus urgent ? Heureusement, ce n'est pas le cas de toutes les régions. En effet, elles ont très majoritairement reporté les appels d'offres jusqu'à un an. Par ailleurs, certaines se sont engagées à rémunérer les entreprises sur les marchés scolaires de façon à régler l'intégralité des salaires des conducteurs, souvent sous contrat à temps partiel et pour lesquels ils rencontreraient eux aussi de grosses difficultés financières. Silence radio sur le sujet de la part de la région Ile-de-France, tout comme son homologue de la région Auvergne-Rhône-Alpes ; ce ne sont pourtant pas les moins fortunées. Ile-de-France Mobilités est l'autorité organisatrice, mais considère ne pas devoir intervenir dans les relations entre les salariés et les entreprises de transport. Elle n'est responsable de rien. Patrick BLAISE, Secrétaire Général de l'Union Fédérale Route 06 82 09 02 97 Charles MORIT, Secrétaire Général Adjoint de l'Union Fédérale Route 06 11 66 65 48

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